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Puis-je hériter de mon conjoint avec lequel je ne vis plus mais dont je ne suis pas divorcé ?

Des conjoints séparés mais non divorcés demeurent héritiers l’un de l’autre en cas de décès. Tant que le divorce n’est pas prononcé, le conjoint survivant (même séparé dans les faits) conserve ses droits dans la succession du défunt.

Le certificat successoral européen (CSE) : qu’est-ce que c’est ?

Le règlement Européen sur les successions internationales n° 650/2012 du 4 juillet 2012, signé par tous les pays de l’Union Européenne à l’exception du Danemark, du Royaume-Uni et de l’Irlande, a créé un certificat successoral européen (CSE). Il vise à accélérer le traitement des successions internationales.

Le certificat est destiné à être utilisé par les héritiers, les légataires et les exécuteurs testamentaires ou les administrateurs de la succession.

Comment déterminer la loi applicable à une succession internationale ?

Depuis l'entrée en application du règlement (UE) n°650/2012 du 4 juillet 2012, et sauf désignation expresse valable de la loi nationale comme loi applicable à la succession, la loi applicable à la succession est celle de la dernière résidence habituelle de la personne décédée, et ce pour l'ensemble de ses biens.

Quelles sont les règles applicables en cas de succession internationale ?

Une succession est dite « internationale » lorsqu’elle comporte un élément d'extranéité. C’est le cas lorsqu’une personne décède soit dans un pays autre que celui de sa nationalité ou de sa résidence, soit en détenant au moins un bien dans un pays autre que celui de sa nationalité ou de sa résidence.

Donner à des enfants issus d'unions différentes : la donation-partage conjonctive

Une donation-partage peut non seulement être réalisée par une personne seule au profit de ses enfants mais également par des parents à leurs enfants communs ou non

Puis-je vendre des biens compris dans la succession, même si mes frères et sœurs ne sont pas tous d'accord?

A compter du décès et jusqu'au partage, les biens de la personne décédée se trouvent en indivision entre les héritiers. Ces derniers sont collectivement propriétaires du patrimoine de la personne décédée.

Le mandat de protection future : un outil permettant d'anticiper l'avenir pour soi-même ou pour autrui

Définition

A mon décès, quels seront les droits de mon concubin sur notre logement ?

Les concubins doivent penser à se protéger eux-mêmes car la loi n’accorde aucun droit au survivant. Si ce dernier n’était pas propriétaire du logement, il n’a aucun droit au maintien dans les lieux.

Si tous deux étaient propriétaires en indivision, il n’est pas davantage protégé. Au décès d’un concubin, ses héritiers, nouveaux propriétaires indivis, peuvent demander la vente du logement.

A mon décès, quels seront les droits de mon partenaire pacsé sur notre logement ?

En cas de décès de l’un des partenaires pacsés, le survivant peut bénéficier pendant un an de la jouissance gratuite du domicile commun ainsi que du mobilier qui le garnit, sauf si son partenaire décédé l’en avait privé par testament.

Toutefois, contrairement à un couple marié, le partenaire pacsé ne bénéficie pas d’un droit viager sur le logement.

A mon décès, quels seront les droits de mon conjoint sur notre logement ?

Le simple fait d’être marié permet d’assurer au conjoint une protection quant au logement du couple. Le droit qui lui est accordé par l’effet du mariage sur le logement est double :

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